Deux des plus importants leaders indigènes péruviens ont été forcés de demander l’asile politique après qu’un juge ait ordonné leur arrestation à la suite des violents affrontements qui se sont déroulés en Amazonie le mois dernier.
Le verdict d'une cour indienne fait courir un grave risque d’infection par le virus de la grippe porcine à une tribu récemment contactée.
Selon un avocat spécialisé dans le droit indigène, le gouvernement de l’Etat de Sarawak, en Malaisie, ne fait aucun cas de la récente décision de justice reconnaissant les droits des Penan et d’autres tribus sur leurs terres.
L'organisation des Indiens d'Amazonie péruvienne a déclaré que le rapport de l'Ombudsman péruvien sur les récents affrontements n'était pas ‘définitif’.
Un article du quotidien britannique The Guardian révèle qu'un cabinet-conseil au service de la compagnie pétrolière franco-britannique Perenco aurait ‘fait disparaître’ de son rapport final les preuves attestant de la présence d'Indiens isolés.
Un rapport publié par l'Ombudsman péruvien fait état de trente-trois morts lors des récents affrontements qui ont eu lieu en Amazonie péruvienne.
Le gouvernement péruvien se prépare à enquêter sur les tragiques affrontements qui ont eu lieu en Amazonie au début du mois dernier et qui ont fait plus de trente morts, une centaine de blessés et de nombreux disparus.
Le fondateur et président d’une compagnie d'exploitation forestière malaisienne responsable de la déforestation du territoire des Penan depuis des décennies vient de se voir conférer le titre de chevalier honoraire.